Montpellier Advanced Knowledge Institute on Transitions (MAK'IT)
Nouveau venu parmi les Instituts d’études Avancées (IEA), le Montpellier Advanced Knowledge Institute on Transitions (MAK’IT) est l’un des projets phares de l’Initiative « Montpellier Université d’Excellence » (MUSE).
Lancé officiellement début 2019, espace d’élaboration d’une intelligence collective de l’action pour le développement durable via la mobilisation des communautés scientifiques, MAK’IT contribue au rayonnement international de l’université de Montpellier et de ses partenaires stratégiques.
Une vision
Les Objectifs de Développement Durable (ODD), tels qu’adoptés sous l’égide des Nations Unies, ne seront atteints à l’horizon 2030 qu’à la condition d’une profonde transformation de nos sociétés, vers des modèles plus innovants, intégratifs et adaptatifs. Cette transformation repose sur une série de transitions majeures à orchestrer au croisement des domaines de la santé, de l’environnement et du climat, de l’agriculture et de l’alimentation. Du local au global, elles représentent, pour la recherche et l’enseignement, autant de défis à accompagner. Renouveler les lieux et formes de mobilisation de la connaissance scientifique et inventer de nouvelles enceintes où appréhender les controverses, multiples, suscitées par ces changements, c’est l’objectif que se fixe MAK’IT.
Une Mission
Analyser, accompagner et accélérer les transitions sanitaires, environnementales, agricoles et alimentaires, nécessaires à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD).
Trois fonctions
Programmer : Contribuer à la programmation de la recherche et de l’enseignement sur les transitions et renforcer la mise en place d’une école de pensée aux niveaux local, national et international.
Se projeter : Identifier et stimuler la réalisation d’exercices de prospective afférents, et renforcer les compétences et capacités nécessaires à la mise en œuvre des transitions.
Influencer : Alimenter les débats au sein d’instances nationales et internationales où se pensent et s’opèrent les transitions, en jouant le rôle d’interface science-société et science-politique.