L’Institut polaire français (https://institut-polaire.fr/fr/) est un groupement d’intérêt public (GIP) chargé de la projection des moyens dans les régions polaires au bénéfice de la recherche académique. Il a pour mission de « sélectionner, coordonner, soutenir et mettre en oeuvre, en qualité d’agence de moyens et de compétences, des projets scientifiques nationaux et internationaux ».
L'appel à projets "Médiation scientifique et valorisation de la recherche" a pour objectif de soutenir les enseignants-chercheurs, chercheurs et ingénieurs de recherche en sciences humaines et sociales dans leur mission de diffusion et partage des connaissances scientifiques auprès du grand public et de partenariat, transfert, application ou exploitation des résultats de leurs recherches dans le monde non académique et socio-économique.
Le défi clé « Institut Cybersécurité Occitanie » (ICO) a été lancé en janvier 2022. L’ICO est une initiative pluridisciplinaire qui vise à rassembler et fédérer les acteurs de la cybersécurité, du monde académique et de l’industrie, afin de positionner la région Occitanie parmi les leaders dans ce domaine en France ainsi qu’au niveau international. L’Institut a pour objectif de stimuler la recherche amont, de développer la formation et de favoriser la collaboration et l’innovation avec les industriels.
Le PUCA lance un appel à propositions de recherches sur les besoins en logements à l’heure de la transition écologique.
Ce nouveau programme s’intéresse à l’objet très controversé des besoins en logements, à leur mode de calcul et à ses implications politiques, économiques, culturelles, écologiques variées. Il interroge la manière dont les effets des crises et de la transition écologique, omis jusqu’alors, ébranlent les débats en introduisant de nouvelles manière de penser les besoins en logement.
Dans le cadre de sa politique scientifique, CNRS Sciences humaines & sociales met l’accent sur les sciences partagées. À cette fin, l’institut lance une troisième campagne de soutien à des dispositifs de soutien, articulée cette année autour de deux axes : méthodologies des sciences partagées (comme les deux années précédentes) et dispositifs de dissémination scientifique.
Si le trafic de stupéfiants concerne de nombreux territoires français, la ville de Marseille représente un contexte particulier : les données de la PJJ indiquent que sur l’ensemble des mesures judiciaires de la direction territoriale des Bouches-du-Rhône, plus de la moitié (55 %) concernent des infractions liées au trafic de stupéfiants, soit plus du double de la moyenne nationale (23 %). L’activité de certaines unités de milieu ouvert concerne quasi exclusivement le suivi de jeunes impliqués dans le trafic.
Le travail social s’est historiquement construit au XIXe siècle à partir de valeurs dites humanistes et de justice sociale. Les travaux de recherche qui se sont intéressés aux professionnels du travail social de la seconde moitié du XXe siècle ont montré les liens entre logique vocationnelle, logique d’engagement et logiques professionnelles dans les trajectoires des travailleurs sociaux. Cependant, depuis quelques années, le sens du travail est questionné dans l’ensemble des sociétés occidentales, phénomène auquel le travail social n’échappe pas.
Le rôle des professionnels de la PJJ se situe à la frontière entre le social et le pénal : si le fondement légal de leur intervention est l’application de décisions de justice, leur action auprès des jeunes est avant tout de nature éducative. Il s’agit en effet d’accompagner les jeunes vers la désistance et vers l’insertion sociale et professionnelle. Cette ambivalence du rôle des professionnels de la PJJ, entre accompagnement social et contrôle, impacte la relation qu’ils nouent avec les jeunes.